A propos des fondateurs
Martin Rubio, 43 ans :
Journaliste puis responsable de Business Unit, Martin a fait une grosse partie de sa carrière sur Internet. Pour les sites presse du groupe Lagardere, Club-Internet puis, comme rédacteur en chef puis patron du numérique chez Psychologies magazine.
Le voyage, si possible de longue durée, m’a toujours fasciné, parce qu’il nous fait regarder notre quotidien de sédentaire différemment. J’ai ainsi parcouru la Scandinavie à 19 ans, l’Inde pendant six mois à 21 ans. J’ai vécu au Cambodge entre 24 et 26 ans. Pays où j’ai rencontré ma femme. Ensemble, nous avons été à Malte, en Argentine, aux Etats-Unis, en Israel, au Maroc, en Italie, en Espagne etc.
Une amie nous a fait découvrir l’échange de maison en 2005. Je suis tombé amoureux de cette pratique, parce qu’elle est économique et parce qu’elle permet d’assouvir le fantasme numéro 1 : vivre une autre vie. Depuis 2005, en échange de maison, nous sommes allés près de Malmoë, en Suède, à Fribourg en Suisse, à Ottawa au Canada.
L’année dernière je n’ai pu échanger. Il y avait trop de concurrence sur les sites que j’utilisais. Nous avons été contraints de revenir à la location. Cela m’a considérablement frustré. C’est pourquoi, j’ai voulu être un des initiateurs de Camago, pour rendre l’échange plus simple, plus lisible, et donc plus efficace pour chacun d’entre nous.
Stéphane Camhaji, 44 ans :
Serial entrepreneur et spécialiste technique des nouvelles technologies, Internet et mobile, Stéphane a travaillé pour des entreprises aussi variées que Kelkoo, Schlumberger, Vidal ou Mobibase. Il participe à la création de Camago parce qu’il est convaincu que l’échange de maison correspond à l’époque.
L’échange de maison met en jeu le partage, une consommation plus raisonnable, y compris l’écologie, l’absence de frontières. Bref des valeurs et des phénomènes dans lesquels je me retrouve.
J’ai tout le temps voyagé même si je n’ai pas encore eu l’occasion de pratiquer l’échange de maison. J’ai ainsi eu l’occasion de découvrir les Etats-Unis, le Cambodge, la Thaïlande, l’Australie…
En tant que technicien, ce qui me marque le plus, c’est que l’échange de maison, par son seul principe, est une pratique qui appelle à inventer un nombre considérables d’outils. Camago doit contribuer à aider les sites d’échanges à pousser plus loin ces outils.